Occurences de l'expression

mes

pour SCUDERY, Georges de

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LE PRINCE DÉGUISÉ (1636)

Je sors pour obéir des termes du devoir. v.5 (Acte 1, scène 1, LISANDRE)
Celle de mes parents, et le respect du Prince ; v.16 (Acte 1, scène 1, LISANDRE)
Et même les exploits qui signalent vos armes, v.39 (Acte 1, scène 1, LISANDRE)
Qui coûtent tant de sang, qui coûtent tant de larmes, v.40 (Acte 1, scène 1, LISANDRE)
Détruit mon espérance, ainsi que mes désirs, v.49 (Acte 1, scène 1, CLÉARQUE)
Pleinement satisfait de mes erreurs passées, v.63 (Acte 1, scène 1, CL?ARQUE)
Je revins sur mes pas, je changeai de pensées ; v.64 (Acte 1, scène 1, CL?ARQUE)
J'arrivai dans Messine, et vins voir cette cour. v.66 (Acte 1, scène 1, CL?ARQUE)
Je me laissai surprendre aux charmes d'un beau teint ; v.69 (Acte 1, scène 1, CL?ARQUE)
Et ne refusa rien à mes voeux pleins d'ardeur. v.90 (Acte 1, scène 1, CL?ARQUE)
Il ne lui répondit qu'en termes de froideur, v.102 (Acte 1, scène 1, CL?ARQUE)
Nous fûmes les plus forts ; et tant de nefs percées, v.147 (Acte 1, scène 1, CL?ARQUE)
Que peu d'heures après nous vîmes de retour. v.170 (Acte 1, scène 1, CL?ARQUE)
Forcer mes sentiments, en étouffer la plainte ; v.263 (Acte 1, scène 3, ARGÉNIE)
Mesurent mon bonheur à mon affection, v.317 (Acte 1, scène 6, CLÉARQUE)
J'aurai (si vous m'aidez) la fin de mes travaux. v.325 (Acte 1, scène 6, CL?ARQUE)
Toi, garde dans le bourg, argent, armes, chevaux, v.326 (Acte 1, scène 6, CL?ARQUE)
Ne t'en éloigne point durant mes rêveries ; v.327 (Acte 1, scène 6, CL?ARQUE)
Donne moi seulement toutes mes pierreries. v.328 (Acte 1, scène 6, CL?ARQUE)
Et certes il paraît à mes yeux ébahis, v.349 (Acte 2, scène 1, PHILISE)
Favorisant mes voeux m'a rendu tout aisé : v.374 (Acte 2, scène 2, CLÉARQUE)
Un trésor qu'un démon a fait voir à mes yeux ; v.398 (Acte 2, scène 2, CLÉARQUE)
J'entre, et dés qu'il est nuit, je mets la main aux armes : v.411 (Acte 2, scène 2, CL?ARQUE)
Et feignant qu'il est temps de commencer mes charmes, v.412 (Acte 2, scène 2, CL?ARQUE)
Où tout se rend facile aux âmes généreuses ; v.432 (Acte 2, scène 2, LISANDRE)
Ouï parler mes soupirs ; écoute leur propos ; v.457 (Acte 2, scène 3, MÉLANIRE)
Mes charmes ont terni son bel éclat d'argent ; v.469 (Acte 2, scène 4, CLÉARQUE)
Remarque mes soupirs, et sans que je le die, v.613 (Acte 2, scène 6, MÉLANIRE)
Mes yeux parlent assez ; mon coeur te dit par eux, v.615 (Acte 2, scène 6, M?LANIRE)
Puisque tu n'aimes point, qu'il est trop amoureux. v.616 (Acte 2, scène 6, M?LANIRE)
Me montrer un péril, c'est y porter mes pas, v.659 (Acte 3, scène 1, CLÉARQUE)
Grande soeur de celui qui mesure l'année, v.730 (Acte 3, scène 2, CLÉARQUE)
Il faut qu'elle triomphe, ou que l'eau de mes pleurs, v.751 (Acte 3, scène 3, MÉLANIRE)
En éteignant mes jours, éteigne vos chaleurs. v.752 (Acte 3, scène 3, M?LANIRE)
Ces charmes faits de nuit, et tant d'or qu'il nous donne, v.773 (Acte 3, scène 3, M?LANIRE)
Augmentez mon ardeur, accroissez mes désirs, v.787 (Acte 3, scène 4, CLÉARQUE)
Aurai-je pu venir sans éveiller mes femmes ? v.801 (Acte 3, scène 5, ARGÉNIE)
Toutes par le sommeil semblaient des corps sans âmes, v.802 (Acte 3, scène 5, PHILISE)
Et bien que son grand coeur rassure mes esprits, v.931 (Acte 4, scène 1, LISANDRE)
Qui furent les captifs de nos armes hautaines, v.942 (Acte 4, scène 1, FLORESTOR)
Mesure sa rigueur à son aveuglement. v.1004 (Acte 4, scène 2, ROSEMONDE)
Faites venir Ariste, et quatre de mes gardes, v.1010 (Acte 4, scène 2, ROSEMONDE)
Fais revoir à mes yeux la beauté qu'ils adorent, v.1017 (Acte 4, scène 3, CLÉARQUE)
Je resterai toujours aux termes du devoir. v.1044 (Acte 4, scène 4, CLÉARQUE)
Nous sommes découverts. v.1067 (Acte 4, scène 5, ARGÉNIE)
L'aise de la vengeance occupe tous mes sens, v.1071 (Acte 4, scène 5, MÉLANIRE)
Je bénirais la flamme, et chérirais mes fers, v.1212 (Acte 5, scène 1, CLÉARQUE)
Et le soin de mes jours ne fait pas ma douleur. v.1216 (Acte 5, scène 1, CL?ARQUE)
Que le sort d'Argénie, et non pas mes tourments, v.1235 (Acte 5, scène 1, CLÉARQUE)
Et de mes compagnons disposant absolu, v.1279 (Acte 5, scène 1, ARISTE)
Sauvons la brave Ariste, allons sécher ses larmes. v.1285 (Acte 5, scène 1, CLÉARQUE)
Mais si je le permets, où prendrez-vous des armes ? v.1286 (Acte 5, scène 1, ARISTE)
Ce n'est pas que mes soins regardent ma personne, v.1305 (Acte 5, scène 2, ARGÉNIE)
Ô dieux qui connaissez jusqu'où vont mes douleurs. v.1347 (Acte 5, scène 3, FLORESTOR)
Hélas ! Faites finir mes jours, ou ses malheurs : v.1348 (Acte 5, scène 3, FLORESTOR)
Nous sommes prévenus, il s'offre pour mon maître : v.1433 (Acte 5, scène 8, FLORESTOR)
Mais secondons encor ses armes de nos voeux. v.1436 (Acte 5, scène 8, LISANDRE)
Les armes de mon maître éclatent en ces lieux ! v.1440 (Acte 5, scène 9, FLORESTOR)
Les armes de mon maître, et les prend contre lui ! v.1448 (Acte 5, scène 9, FLORESTOR)
De se résoudre ici d'accomplir sa promesse, v.1486 (Acte 5, scène 9, CLÉARQUE)
Nous sommes l'un et l'autre indignes de pitié ; v.1515 (Acte 5, scène 9, ARGÉNIE)

LE VASSAL GÉNÉREUX (1636)

Que ces flammes d'amour ne vous soient point fatales ; v.69 (Acte 1, scène 1, ROSILEE)
N'éteigne avec mes jours une si belle ardeur ; v.92 (Acte 1, scène 1, THÉANDRE)
Je verrais sans le prendre un sceptre sous mes pas : v.100 (Acte 1, scène 1, ROSILEE)
Puissant roi des métaux, et des moins nobles âmes, v.113 (Acte 1, scène 1, THÉANDRE)
Dont le solide corps peut résister aux flammes ; v.114 (Acte 1, scène 1, TH?ANDRE)
Écrivant en mon nom vous fait cette promesse : v.121 (Acte 1, scène 1, TH?ANDRE)
Aussi bien que mes volontés, v.136 (Acte 1, scène 1, TH?ANDRE)
Sellez cette promesse avec un doux baiser ; v.140 (Acte 1, scène 1, THÉANDRE)
Aussi bien comme amant, messager infidèle. v.226 (Acte 1, scène 2, ROSILEE)
Las servez à mes pleurs, et non à sa risée, v.262 (Acte 1, scène 2, LUCIDAN)
Pensers, craintes, soupçons, mes plus fiers ennemis, v.271 (Acte 1, scène 3, THÉANDRE)
Soupçons, craintes, pensers, qui provoquez mes larmes, v.281 (Acte 1, scène 3, TH?ANDRE)
Voici pour les tarir, un anneau plain de charmes : v.282 (Acte 1, scène 3, TH?ANDRE)
De maintenir l'honneur des dames en tous lieux ? v.299 (Acte 1, scène 3, ANDROPHILE)
Mes volontés d'accord, avecque mon devoir, v.303 (Acte 1, scène 3, THÉANDRE)
Il faut que la fortune à mes voeux favorable, v.333 (Acte 1, scène 3, THÉANDRE)
Pour savoir mes désirs, au lieu de m'en presser, v.343 (Acte 1, scène 3, ROSILEE)
Donnant à mes exploits la récompense telle ; v.406 (Acte 2, scène 1, THÉANDRE)
Accordant à mes voeux un trésor tant exquis, v.407 (Acte 2, scène 1, TH?ANDRE)
Et pourvu que mes soins vous puissent obliger ; v.411 (Acte 2, scène 1, ROSILEE)
Que vous estes heureux brûlant de mêmes flammes ! v.413 (Acte 2, scène 1, GLACITIDE)
Le vrai plaisir consiste en l'union des âmes ; v.414 (Acte 2, scène 1, GLACITIDE)
Afin qu'il le remette aux termes du devoir. v.428 (Acte 2, scène 1, GLACITIDE)
Ignorants médecins, stupides que nous sommes, v.473 (Acte 2, scène 2, PHILIDASPE)
De mesurer les grands au vulgaire des hommes ; v.474 (Acte 2, scène 2, PHILIDASPE)
Pour régner sûrement, qu'ils règnent sur eux-mêmes ; v.477 (Acte 2, scène 2, LINDORANTE)
S'ils domptent les désirs, leurs forces sont extrêmes ; v.478 (Acte 2, scène 2, LINDORANTE)
Et qu'en fin mes sujets ne pouvant l'endurer ; v.607 (Acte 2, scène 3, ANDROPHILE)
Vous cachez sous ces mots vos trames homicides : v.666 (Acte 2, scène 4, LUCIDAN)
Feront durer mes feux plus longtemps que ma vie : v.678 (Acte 2, scène 4, THÉANDRE)
Touché de mes douleurs, m'a mis le sceptre en main. v.684 (Acte 3, scène 1, LUCIDAN)
Un seul de mes regards peut réduire en fumée, v.701 (Acte 3, scène 1, LUCIDAN)
Et si mes actions ne leur semblent point belles, v.709 (Acte 3, scène 1, LUCIDAN)
Faites-moi suivre là par trente de mes gardes ; v.754 (Acte 3, scène 1, LUCIDAN)
Je ne sais quel démon retient ici mes pas. v.760 (Acte 3, scène 2, GLACITIDE)
Aux armes citoyens, veuillez vous reconnaître ; v.833 (Acte 3, scène 4, ROSIMAR)
Et s'il poursuit encor ses infâmes projets, v.859 (Acte 3, scène 5, ROSILEE)
Les armes à la main l'en a fait retirer ; v.868 (Acte 3, scène 6, ALCASTE)
Mon conseil et mes pas s'adressent vers Théandre : v.870 (Acte 3, scène 6, ROSILEE)
Aussi bien qu'à mon coeur, fais le voir à mes yeux ; v.880 (Acte 3, scène 7, LUCIDAN)
C'est à moi de punir l'orgueil de mes esclaves ; v.918 (Acte 3, scène 8, LUCIDAN)
Debout, debout, soldats, aux armes capitaines ; v.921 (Acte 3, scène 8, LUCIDAN)
Gloire de mes guerriers, généreux Lindorante, v.941 (Acte 3, scène 8, LUCIDAN)
Mais nous sommes trop loin, et mes bras sont trop courts. v.968 (Acte 4, scène 1, THÉANDRE)
Mais bien que ton esprit soit défait de ses charmes, v.1079 (Acte 4, scène 2, LUCIDAN)
Sois honteux que le jour te reproche des larmes ; v.1080 (Acte 4, scène 2, LUCIDAN)
Mais vos âmes, sujets, me sont bien plus cruelles : v.1103 (Acte 4, scène 2, LUCIDAN)
Désire avecque vous mesurer son épée. v.1152 (Acte 4, scène 3, ARTESIE)
Celui qui se divise en hommes différents, v.1271 (Acte 5, scène 1, THÉANDRE)
Les hommes l'ont formé sur l'exemple des dieux. v.1284 (Acte 5, scène 1, TH?ANDRE)
D'obéir au premier de mes commandements. v.1364 (Acte 5, scène 1, THÉANDRE)
Et si je ne dis vrai, puisse en ces mêmes lieux, v.1403 (Acte 5, scène 1, THÉANDRE)
Ont pris injustement les armes à la main. v.1408 (Acte 5, scène 1, TH?ANDRE)
Seigneur, mon intérêt vous fit prendre les armes ; v.1453 (Acte 5, scène 2, ROSILEE)
Pour le même aujourd'hui donnez les à mes larmes ; v.1454 (Acte 5, scène 2, ROSILEE)
Nos âmes sans raison paraîtraient obstinées ; v.1458 (Acte 5, scène 2, ROSIMAR)
Si vous estes contents, nous le sommes aussi. v.1460 (Acte 5, scène 2, ROSIMAR)
Nous sommes nais sujets, et vous êtes né maître. v.1462 (Acte 5, scène 2, THÉANDRE)
Oubliez mes erreurs, pour me faire oublier. v.1476 (Acte 5, scène 2, LUCIDAN)
Prenez dans mes conseils un aussi grand pouvoir, v.1479 (Acte 5, scène 2, LUCIDAN)
L'image de mon père attachera mes yeux ; v.1488 (Acte 5, scène 2, LUCIDAN)

LIGDAMON ET LIDIAS (1631)

Tout hormis cet aspic prend part à mes malheurs, v.15 (Acte 1, scène 1, LIGDAMON)
Car à chaque moment mes yeux font des ruisseaux, v.35 (Acte 1, scène 1, LIGDAMON)
Que ma jalouse humeur nourrit à mes dépends ; v.52 (Acte 1, scène 1, LIGDAMON)
Afin que de mes jours la trame soit coupée, v.57 (Acte 1, scène 1, LIGDAMON)
Dieux, hommes, animaux, arbres, pierres, font voir v.87 (Acte 1, scène 1, LIGDAMON)
Que le bruit des ruisseaux a d'agréables charmes. v.105 (Acte 1, scène 1, SILVIE)
Pouvez-vous voir de l'eau sans penser à mes larmes ? v.106 (Acte 1, scène 1, LIGDAMON)
Vous devez ce plaisir au vent de mes soupirs. v.108 (Acte 1, scène 1, SILVIE)
Leur nombre est plus petit que celui de mes peines. v.114 (Acte 1, scène 1, LIGDAMON)
Ainsi de vos rigueurs mes pleurs prennent leur source. v.122 (Acte 1, scène 1, LIGDAMON)
Ô ! Que tu connais mal le naturel des femmes, v.185 (Acte 1, scène 1, ALCIDOR)
L'apparente froideur cache souvent des flammes, v.186 (Acte 1, scène 1, ALCIDOR)
Que mes yeux la prendraient pour une onde en peinture, v.242 (Acte 1, scène 2, SILVIE)
Curieux avançant mes pas dedans le bois v.287 (Acte 1, scène 2, ALCIDOR)
Mêler mes tristes pleurs aux larmes de l'aurore, v.411 (Acte 1, scène 3, AMERINE)
Bref la voyant partout en mes pensers divers v.504 (Acte 2, scène 1, LIGDAMON)
D'hommes, de chariots, de pistes de chevaux, v.564 (Acte 2, scène 1, LIGDAMON)
Déjà tous mes soldats l'ont peinte en leur visage, v.595 (Acte 2, scène 3, MEROVEE)
Mes voeux sont accomplis ayant trouvé mon maître. v.646 (Acte 2, scène 3, LIGDAMON)
L'aimant de vos vertus tirant ici mes pas v.664 (Acte 2, scène 3, LIGDAMON)
De qui le bel esprit rare au siècle où nous sommes, v.670 (Acte 2, scène 3, MEROVEE)
Ne se trompe jamais en l'estime des hommes ; v.671 (Acte 2, scène 3, MEROVEE)
L'inébranlable appui de fermes fondements, v.705 (Acte 2, scène 3, CLIDAMANT)
Cet hydre renaîtra pour croître nos meschefs. v.740 (Acte 2, scène 3, MEROVEE)
Que la première ville esclave de vos armes v.742 (Acte 2, scène 3, CLIDAMANT)
Sente jusques où va la fureur des gendarmes, v.743 (Acte 2, scène 3, CLIDAMANT)
Les extrêmes sont bons à leur rage félone, v.786 (Acte 2, scène 3, CLIDAMANT)
Ces termes généraux de grâce éclaircissez. v.820 (Acte 2, scène 3, CLIDAMANT)
Deux choses seulement font naître mes travaux, v.836 (Acte 2, scène 3, LIGDAMON)
Car je crois plus mes yeux que non pas vos paroles, v.851 (Acte 3, scène 1, MEROVEE)
Mes yeux, mes propres yeux, savent en vérité v.852 (Acte 3, scène 1, MEROVEE)
Souffrez que tous mes gens courbés jusques à terre v.858 (Acte 3, scène 1, MEROVEE)
Votre bras les garda du suprême meschef, v.860 (Acte 3, scène 1, MEROVEE)
Et que nous eûmes pris notre champ de bataille, v.910 (Acte 3, scène 1, MEROVEE)
Que tous mes gens de pied rangez tambour battant v.911 (Acte 3, scène 1, MEROVEE)
J'eus mis mes cavaliers aux ailes, à l'instant v.912 (Acte 3, scène 1, MEROVEE)
Chacun sait, mes amis, sans vous parler de moi, v.915 (Acte 3, scène 1, MEROVEE)
Et d'eux et de mes gens que la peur fait trembler, v.924 (Acte 3, scène 1, MEROVEE)
Qui pour sauver ma vie au milieu des alarmes v.961 (Acte 3, scène 1, MEROVEE)
Me couvrais d'un rempart fait de corps de gendarmes, v.962 (Acte 3, scène 1, MEROVEE)
Mais hélas, quel miracle ! Oserai-je, mes yeux, v.1049 (Acte 3, scène 2, SILVIE)
Qu'amour nous a su mettre aux termes du devoir. v.1054 (Acte 3, scène 2, SILVIE)
Où mes persécuteurs ne trouvent point d'entrée, v.1056 (Acte 3, scène 2, LIDIAS)
Que je sois échappé de tous mes ennemis ; v.1058 (Acte 3, scène 2, LIDIAS)
Heureuse, hélas ! Heureuse en souffrant tant d'alarmes v.1119 (Acte 3, scène 3, AMERINE)
Si je pouvais périr dans ce fleuve de larmes : v.1120 (Acte 3, scène 3, AMERINE)
Que mes jours ni mes maux ne soient point limités. v.1122 (Acte 3, scène 3, AMERINE)
Quand d'un mauvais aspect nous sommes regardez, v.1294 (Acte 3, scène 4, AEGIDE)
Qui se baigne en mes maux, se plaît en mon tourment, v.1313 (Acte 3, scène 4, LIGDAMON)
Ainsi puisse tarir la source de mes pleurs, v.1342 (Acte 4, scène 1, AMERINE)
Froide comme un glaçon, se coulant dans mes bras v.1381 (Acte 4, scène 1, AMERINE)
Je vis ensanglanter mon visage et mes draps, v.1382 (Acte 4, scène 1, AMERINE)
Pour sauver Lidias et pour finir mes maux, v.1418 (Acte 4, scène 1, AMERINE)
Qui trouble toutes mes délices v.1422 (Acte 4, scène 2, LIDIAS)
Sans être touché de ses charmes, v.1445 (Acte 4, scène 2, LIDIAS)
Je le sens couler dans les larmes v.1446 (Acte 4, scène 2, LIDIAS)
Et là si tu fais voir à mes yeux ébahis v.1511 (Acte 4, scène 2, SILVIE)
Le ruisseau de mes pleurs dorénavant tari, v.1519 (Acte 4, scène 2, SILVIE)
Il a vu sa patrie en des larmes trempée, v.1589 (Acte 4, scène 3, JUGE-III)
Adieu l'honneur du monde et la gloire des armes, v.1708 (Acte 4, scène 3, AEGIDE)
Digne que l'univers pour toi se fonde en larmes, v.1709 (Acte 4, scène 3, AEGIDE)
Les armes à la main, venez si bon vous semble, v.1772 (Acte 4, scène 3, LIGDAMON)
Femmes, enfants, soldats, et lions tous ensemble : v.1773 (Acte 4, scène 3, LIGDAMON)
quoi donc, parmi mes feux vous paraissez de glace, v.1801 (Acte 4, scène 3, AMERINE)
Or sus, mes chers enfants, allons nous préparer v.1818 (Acte 4, scène 3, LA-MÈRE)
Et quand le destin même allongerait mes jours, v.1834 (Acte 5, scène 1, LIGDAMON)
Mes yeux en ont versé trois ans sans s'étancher : v.1847 (Acte 5, scène 1, LIGDAMON)
En allongeant mes jours pour croître mon martyre ; v.1877 (Acte 5, scène 1, LIGDAMON)
Ne m'en parle donc plus, mais plutôt si tu m'aimes v.1908 (Acte 5, scène 1, LIGDAMON)
Cherche et trouve un remède à ces malheurs extrêmes. v.1909 (Acte 5, scène 1, LIGDAMON)
Regarde, considère, entends tous mes discours, v.1939 (Acte 5, scène 1, LIGDAMON)
Que nous sommes trompez souvent par l'apparence, v.1960 (Acte 5, scène 2, SACRIFICATEUR)
Ha ! L'honneur de ton sexe, ô la gloire des femmes ! v.1976 (Acte 5, scène 2, SACRIFICATEUR)
Viens viens, que ma main face une âme de deux âmes, v.1977 (Acte 5, scène 2, SACRIFICATEUR)
Et qui n'ignorez point l'état de mes ennuis, v.2027 (Acte 5, scène 2, LIGDAMON)
Abuser ma mémoire et démentir mes yeux ? v.2063 (Acte 5, scène 2, AMERINE)
Formant de mêmes traits deux différents visages. v.2065 (Acte 5, scène 2, LIGDAMON)
Qui redonne à mes yeux la lumière importune ? v.2178 (Acte 5, scène 2, LA-MÈRE)
Votre destin était enfermé dans mes mains ; v.2225 (Acte 5, scène 2, SILVIE)
Ouvre le d'un poignard, et par tes justes armes v.2234 (Acte 5, scène 2, SILVIE)
Mêle un fleuve de sang à celui de mes larmes. v.2235 (Acte 5, scène 2, SILVIE)
Je l'ai vu, messeigneurs, avaler le poison. v.2244 (Acte 5, scène 2, SACRIFICATEUR)
Je doute si mes yeux ne sont point des menteurs. v.2249 (Acte 5, scène 2, JUGE-III)
Il joignit des présents aux charmes de sa plainte, v.2274 (Acte 5, scène 2, LE-MIRE)
Quel objet se présente à mes yeux éblouis ? v.2297 (Acte 5, scène 2, LIGDAMON)
Je suis assez brûlé des flammes de l'amour, v.2317 (Acte 5, scène 2, LIDIAS)

EUDOXE (1641)

Nous voici dans Carthage, où sont tous mes plaisirs ; v.10 (Acte 1, scène 1, OLIMBRE)
Où le désir d'apprendre avait porté mes pas, v.33 (Acte 1, scène 1, OLICHARSIS)
Rome a vu ma naissance, et par mes destinées, v.55 (Acte 1, scène 1, URSACE)
Constantinople a vu mes premières années, v.56 (Acte 1, scène 1, URSACE)
Olimbre aux mêmes lieux suivit le même maître ; v.59 (Acte 1, scène 1, URSACE)
Et dans les mêmes lieux, la suprême puissance, v.63 (Acte 1, scène 1, URSACE)
Je brûlais sans parler, dans mes feux innocents ; v.109 (Acte 1, scène 1, URSACE)
Ha ! Ce furent mes yeux qui trahirent mon âme : v.112 (Acte 1, scène 1, URSACE)
J'appris qu'elle souffrait ses flammes manifestes, v.124 (Acte 1, scène 1, URSACE)
Mon amour, mes respects, mes devoirs, et ma peine. v.132 (Acte 1, scène 1, URSACE)
Secrets témoins d'amour, qui charmiez tous mes sens ! v.150 (Acte 1, scène 1, URSACE)
Et vous m'allez punir de mes témérités ? v.170 (Acte 1, scène 1, URSACE)
Et me tiendra toujours aux termes du devoir. v.186 (Acte 1, scène 1, URSACE)
Je ne vous dirai point, qu'en brûlant de ses flammes, v.187 (Acte 1, scène 1, URSACE)
L'amour malgré le sort peut égaler les âmes ; v.188 (Acte 1, scène 1, URSACE)
Quelle approuva mes feux, mes fers et mes liens ; v.197 (Acte 1, scène 1, URSACE)
Que par mille serments, et par mille promesses, v.200 (Acte 1, scène 1, URSACE)
Et que répondit-elle à ces mots pleins de charmes ? v.211 (Acte 1, scène 1, OLICHARSIS)
son bel oeil le premier répondit par des larmes : v.212 (Acte 1, scène 1, URSACE)
Doux et puissant esprit (lui dis-je avec des larmes) v.243 (Acte 1, scène 1, URSACE)
Puisque vous le voulez, mon amour rend les armes ; v.244 (Acte 1, scène 1, URSACE)
J'oblige Genseric par l'objet de ses larmes, v.299 (Acte 1, scène 1, URSACE)
De voir notre Italie, et d'y porter ses armes. v.300 (Acte 1, scène 1, URSACE)
Genseric fut touché des charmes de la mère ; v.308 (Acte 1, scène 1, URSACE)
J'assemble mes amis, j'attaque son armée ; v.316 (Acte 1, scène 1, URSACE)
Qui me force de vivre au milieu de mes peines ; v.323 (Acte 1, scène 1, URSACE)
Ou de voir en ma fin celle de mes tristesses. v.328 (Acte 1, scène 1, URSACE)
Ô ciel, si ta pitié daigne écouter mes voeux, v.393 (Acte 1, scène 2, EUDOXE)
Secondez mes souhaits, acceptez cet époux ; v.425 (Acte 1, scène 3, IMPERATRICE)
Il détruit mes plaisirs, non, je n'en ferai rien. v.441 (Acte 1, scène 4, GENSERIC)
J'ai fait armes de tout en cette extrémité, v.465 (Acte 1, scène 4, GENSERIC)
Mais il faut qu'un monarque, en l'état où nous sommes, v.491 (Acte 1, scène 4, OLICHARSIS)
Soit plus sage en effet que le commun des hommes ; v.492 (Acte 1, scène 4, OLICHARSIS)
Et l'on ne force point les femmes de son rang. v.502 (Acte 1, scène 4, OLICHARSIS)
Forcent ma patience, au milieu de mes larmes v.723 (Acte 2, scène 3, GENSERIC)
De se désespérer, et de prendre les armes. v.724 (Acte 2, scène 3, GENSERIC)
Tout ce que je puis faire en l'état où nous sommes, v.727 (Acte 2, scène 3, GENSERIC)
En présence du ciel, en présence des hommes, v.728 (Acte 2, scène 3, GENSERIC)
Mes filles, c'est pour vous que mes douleurs redoublent : v.900 (Acte 2, scène 3, IMPERATRICE)
Ces lâches, ces flatteurs, ces âmes mercenaires, v.995 (Acte 3, scène 1, THRASIMOND)
Ces infâmes esprits, par ce mauvais conseil, v.1001 (Acte 3, scène 1, THRASIMOND)
Qui voit tous mes desseins, et qui lit dans mon cour ? v.1050 (Acte 3, scène 1, GENSERIC)
Et de tous mes pensers, et de tous mes desseins, v.1057 (Acte 3, scène 1, GENSERIC)
De pouvoir partager mes desseins entre nous ? v.1117 (Acte 3, scène 2, THRASIMOND)
Et vous me réduisez aux termes d'éclater. v.1258 (Acte 3, scène 6, IMPERATRICE)
Ô ciel où sommes-nous ! Et quelle procédure, v.1267 (Acte 3, scène 6, IMPERATRICE)
Quoi mes propos sont vains ! v.1324 (Acte 3, scène 6, IMPERATRICE)
S'en est fait, il le faut ; ô bienheureuses flammes, v.1331 (Acte 3, scène 6, IMPERATRICE)
Venez perdre nos corps, et conserver nos âmes. v.1332 (Acte 3, scène 6, IMPERATRICE)
Que t'osaient disputer des hommes sans courage ! v.1400 (Acte 3, scène 7, THRASIMOND)
Des hommes qui tremblaient sachant ta qualité ! v.1401 (Acte 3, scène 7, THRASIMOND)
Ha non, non, tu n'as fait qu'une promesse vaine : v.1406 (Acte 3, scène 7, THRASIMOND)
Ici toute ta joie, ici tous mes plaisirs ; v.1538 (Acte 4, scène 2, URSACE)
Ici par tes conseils, nos malheurs sont extrêmes, v.1540 (Acte 4, scène 2, URSACE)
Ici nous perdons tout, et nous perdons nous mêmes. v.1541 (Acte 4, scène 2, URSACE)
Ô mes pleurs ! v.1578 (Acte 4, scène 2, URSACE)
Confirmez-moi mes yeux une telle merveille. v.1669 (Acte 4, scène 4, IMPERATRICE)
Nous sommes en danger, v.1674 (Acte 4, scène 4, IMPERATRICE)
Mais le cours de mes pleurs, vous dira bien le reste ; v.1793 (Acte 5, scène 1, URSACE)
Oui lisez dans mes yeux, et la rigueur du sort, v.1794 (Acte 5, scène 1, URSACE)
Qui rend en tous endroits leurs armes redoutables, v.1922 (Acte 5, scène 3, GENSERIC)
Traître tu fus bien loin de ces nobles maximes ! v.1929 (Acte 5, scène 3, GENSERIC)
Ton esprit criminel, me conseilla des crimes, v.1930 (Acte 5, scène 3, GENSERIC)
Qui voudra s'assurer aux promesses d'un prince, v.1989 (Acte 5, scène 4, OLIMBRE)
Trois fantômes brûlés, s'offrent devant mes yeux ; v.2008 (Acte 5, scène 4, GENSERIC)
Je les vois languissants, je les vois dans les flammes ; v.2009 (Acte 5, scène 4, GENSERIC)
Pardon, hélas, pardon, ô généreuses âmes ; v.2010 (Acte 5, scène 4, GENSERIC)
Mais après mes malheurs, il n'est plus dans mon âme. v.2030 (Acte 5, scène 4, GENSERIC)
Qu'Eudoxe une autrefois se montrât à mes yeux, v.2036 (Acte 5, scène 4, GENSERIC)
Ha l'horreur de mon crime occupe tous mes sens ; v.2055 (Acte 5, scène 4, GENSERIC)
Chères âmes pardon, et du ciel où vous êtes, v.2057 (Acte 5, scène 4, GENSERIC)
Voyez que mes pêchés n'y mêlent rien du leur ; v.2060 (Acte 5, scène 4, GENSERIC)
Accordez à mes pleurs, accordez un pardon, v.2064 (Acte 5, scène 4, GENSERIC)
Suivez donc mes avis, ô le plus grand des rois ; v.2096 (Acte 5, scène 5, OLIMBRE)
Mais quel infâme objet, s'offre encore à mes yeux ? v.2140 (Acte 5, scène 5, GENSERIC)

L'AMOUR TYRANNIQUE (1640)

Je ne demande plus qui fait prendre les armes, v.57 (Acte 1, scène 1, HECUBE)
Et je ne cherche plus la source de vos larmes. v.58 (Acte 1, scène 1, HECUBE)
Et parmi nos voisins lui suppose des crimes, v.65 (Acte 1, scène 1, ORMENE)
Pour faire croire à tous ses armes légitimes : v.66 (Acte 1, scène 1, ORMENE)
Qui perdent ma patrie, et qui causent mes pleurs ? v.76 (Acte 1, scène 1, ORMENE)
Et mes soupirs fréquents ont parlé pour ma bouche ; v.82 (Acte 1, scène 1, ORMENE)
Mes yeux ont assez dit la douleur que je sens ; v.83 (Acte 1, scène 1, ORMENE)
Mais toujours le respect a régné sur mes sens. v.84 (Acte 1, scène 1, ORMENE)
Je me dois souvenir au milieu de mes maux, v.91 (Acte 1, scène 1, ORMENE)
(Dieux ne m'écoutez point) mes filles je l'adore ; v.110 (Acte 1, scène 1, ORMENE)
Toute la Capadoce est soumise à mes lois ; v.115 (Acte 1, scène 2, TIRIDATE)
Tout fléchit, tout se rend, et mes heureux projets v.123 (Acte 1, scène 2, TIRIDATE)
N'ont point eu d'ennemis, qui ne soient mes sujets. v.124 (Acte 1, scène 2, TIRIDATE)
Seigneur, qui vous instruit en de telles maximes ? v.149 (Acte 1, scène 2, PHARNABASE)
Croyez-vous donc qu'un roi doive faire des crimes ? v.150 (Acte 1, scène 2, PHARNABASE)
Ne les mesurez pas avec une autre race ; v.162 (Acte 1, scène 2, TIRIDATE)
Et quel de mes voisins osera concevoir v.171 (Acte 1, scène 2, TIRIDATE)
Et que le Phrygien aide à mes ennemis, v.175 (Acte 1, scène 2, TIRIDATE)
Vos gens avec douleur semblent porter les armes, v.185 (Acte 1, scène 2, PHARNABASE)
Quand ils versent du sang, ils répandent des larmes, v.186 (Acte 1, scène 2, PHARNABASE)
Et puis, leur volonté ne fait pas mes destins, v.191 (Acte 1, scène 2, TIRIDATE)
Allez faire ranger mes gens de toutes parts, v.251 (Acte 1, scène 3, TIRIDATE)
Mes yeux ont fait un crime, en me faisant aimer. v.272 (Acte 1, scène 4, POLIXENE)
Vous augmentez mes pleurs, vous irritez ma peine ; v.286 (Acte 1, scène 4, TIGRANE)
Que de tous mes travaux Tiridate ait le fruit ; v.295 (Acte 1, scène 4, TIGRANE)
Et que mes lâchetés abandonnent ma femme ? v.326 (Acte 1, scène 5, TIGRANE)
Aux armes compagnons ! v.361 (Acte 1, scène 5, PHRAARTE)
Mes citoyens aux armes. v.361 (Acte 1, scène 5, TIGRANE)
Dieux, épargnez le sang, et payez-vous de larmes ! v.362 (Acte 1, scène 5, POLIXENE)
Courage mes amis, avancez, avancez ; v.363 (Acte 1, scène 5, PHRAARTE)
Hélas ! Je porte au cour ce qu'on ôte à mes yeux ! v.424 (Acte 2, scène 1, ORMENE)
Ce n'est qu'en leur faveur que je répands des larmes ; v.497 (Acte 2, scène 3, OROSMANE)
En leur seule faveur, laisse tomber tes armes ; v.498 (Acte 2, scène 3, OROSMANE)
Donnons, donnons Phraarte, et devance mes pas ; v.559 (Acte 2, scène 4, TIRIDATE)
Fais savoir à mes gens qu'il y va du trépas, v.560 (Acte 2, scène 4, TIRIDATE)
Encore un nouveau crime apparaît à mes yeux ! v.563 (Acte 2, scène 4, PHRAARTE)
S'il n'a vu par mes soins, toutes ces belles marques v.565 (Acte 2, scène 4, PHRAARTE)
Ce qui fait mes plaisirs, fait ses félicités ; v.603 (Acte 2, scène 5, TIGRANE)
Par l'honneur, par l'amour dont mes sens sont charmés ; v.682 (Acte 2, scène 5, POLIXENE)
En un mot, par mes yeux si tu les as aimés. v.683 (Acte 2, scène 5, POLIXENE)
C'est d'un malheur extrême augmenter mes ennuis ; v.699 (Acte 3, scène 1, POLIXENE)
Nous sommes dans le camp, où chacun nous regarde ; v.720 (Acte 3, scène 1, PHRAARTE)
Non, non, mes filles non, la chose est résolue ; v.744 (Acte 3, scène 2, TIGRANE)
Apportez en ces lieux vos flammes, et vos souffres, v.761 (Acte 3, scène 2, TIGRANE)
Belle âme, vois du ciel ma rage, et mes transports ; v.767 (Acte 3, scène 2, TIGRANE)
Que mes profonds respects, et vos propres bontés. v.791 (Acte 3, scène 3, ORMENE)
Tu crois nous endormir, par des termes si doux, v.798 (Acte 3, scène 3, OROSMANE)
Ni des abîmes creux les routes inconnues ; v.821 (Acte 3, scène 3, TIRIDATE)
Accordez à mes pleurs la mort que je désire ; v.836 (Acte 3, scène 3, ORMENE)
Allez objets fâcheux, qui troublés mes plaisirs, v.874 (Acte 3, scène 3, TIRIDATE)
C'est de nous qu'elle vient, tous puissants que nous sommes ; v.884 (Acte 3, scène 3, TIRIDATE)
C'est nous qui sommes dieux, qui la donnons aux hommes ; v.885 (Acte 3, scène 3, TIRIDATE)
Quel démon de lumière à mes yeux se présente ? v.909 (Acte 3, scène 3, TIRIDATE)
Trompeuse illusion dont les charmes puissants, v.910 (Acte 3, scène 3, TIRIDATE)
Font naître un vrai plaisir en décevant mes sens ; v.911 (Acte 3, scène 3, TIRIDATE)
Ha ! Cruel, si mes maux ont pour toi quelques charmes, v.940 (Acte 3, scène 4, POLIXENE)
Laisse couler mon sang, taris plutôt mes larmes : v.941 (Acte 3, scène 4, POLIXENE)
Mais je promets de faire mes efforts, v.1002 (Acte 3, scène 4, TIRIDATE)
Qu'on mette à la servir, des femmes de la reine ; v.1009 (Acte 3, scène 4, TIRIDATE)
En un mot, dans le camp mes lois sont souveraines. v.1057 (Acte 4, scène 1, PHRAARTE)
Donnez-moi le succès égal à mes desseins ; v.1059 (Acte 4, scène 1, PHRAARTE)
Établit mes plaisirs, et dissipe ma crainte ; v.1127 (Acte 4, scène 2, TIRIDATE)
Porte l'ordre à Phraarte, et mes commandements ; v.1144 (Acte 4, scène 3, TIRIDATE)
Je vois également la cause de mes maux, v.1164 (Acte 4, scène 4, ORMENE)
Et dans votre mérite, et dans tous mes défauts : v.1165 (Acte 4, scène 4, ORMENE)
Et que ne peuvent point les armes et la force ? v.1171 (Acte 4, scène 4, ORMENE)
Je veux trancher encore la trame de mes jours ; v.1177 (Acte 4, scène 4, ORMENE)
L'avez-vous remarqué dans mes déportements ? v.1184 (Acte 4, scène 4, POLIXENE)
Viens généreux lion déchirer à mes yeux, v.1208 (Acte 4, scène 4, POLIXENE)
Des femmes sans honneur, des hommes enchaînés, v.1253 (Acte 4, scène 6, TIGRANE)
Mais que pourrais-je faire en l'état où nous sommes ? v.1274 (Acte 4, scène 6, ORMENE)
Ha ! Notre guérison ne dépend point des hommes, v.1275 (Acte 4, scène 6, ORMENE)
Ces armes seulement combattront sa rigueur. v.1325 (Acte 4, scène 6, ORMENE)
Puisqu'une ingrate soeur se rit de mes ennuis ; v.1377 (Acte 4, scène 6, TIGRANE)
Je ris de ta colère ainsi que de ses larmes. v.1390 (Acte 4, scène 7, TIRIDATE)
Mais il faut que mon camp demeure sur les armes ; v.1391 (Acte 4, scène 7, TIRIDATE)
Ne vienne point troubler mes diverses pensées ; v.1395 (Acte 4, scène 7, TIRIDATE)
Je souffre la faiblesse en des armes vulgaires, v.1545 (Acte 5, scène 4, OROSMANE)
Traîtres, que j'ai vaincus au milieu des alarmes, v.1600 (Acte 5, scène 5, TIRIDATE)
Votre fraude prétend ce que n'ont pu vos armes ; v.1601 (Acte 5, scène 5, TIRIDATE)
Oui, je me vengerai de vos projets infâmes : v.1608 (Acte 5, scène 5, TIRIDATE)
Et toi cour sans pitié qui méprise mes flammes ; v.1609 (Acte 5, scène 5, TIRIDATE)
Non, non, je n'ai plus d'yeux, je ne vois plus tes charmes ; v.1612 (Acte 5, scène 5, TIRIDATE)
Je suis sourd pour tes cris, aveugle pour tes larmes ; v.1613 (Acte 5, scène 5, TIRIDATE)
Viens fomenter encore nos troubles domestiques ? v.1633 (Acte 5, scène 6, TIRIDATE)
Et quand la force aura contenté mes esprits, v.1650 (Acte 5, scène 6, TIRIDATE)
Et vous de leurs secrets fidèle messagère, v.1664 (Acte 5, scène 6, TIRIDATE)
De sorte, fier tyran, qu'en l'état où nous sommes, v.1704 (Acte 5, scène 6, TIGRANE)
Tristes, abandonnés, et des dieux, et des hommes v.1705 (Acte 5, scène 6, TIGRANE)
Tu m'aimes, je te haï ; tu me suis, je t'abhorre, v.1724 (Acte 5, scène 6, POLIXENE)
Mais toujours mes conseils ont eu peu de crédit. v.1735 (Acte 5, scène 7, PHARNABASE)
Ô dieux ! Suis-je surpris par la force des charmes ? v.1744 (Acte 5, scène 7, TIRIDATE)
Phraarte le premier, ayant mis bas les armes, v.1745 (Acte 5, scène 7, PHARNABASE)
L'intérêt de ma soeur m'a fait prendre les armes, v.1776 (Acte 5, scène 8, TROILE)
Les dieux ont vu vos faits, les dieux ont vu ses larmes ; v.1777 (Acte 5, scène 8, TROILE)
Bref ses jours sont mes jours, sa mort est mon trépas ; v.1811 (Acte 5, scène 8, ORMENE)
Bref ses jours sont mes jours, sa mort est mon trépas ! v.1819 (Acte 5, scène 8, TIRIDATE)
Le ciel qui voit mes pleurs, voit aussi mon courage, v.1829 (Acte 5, scène 8, TIRIDATE)
Non, non, ne m'aimes plus, l'honneur te le défend, v.1846 (Acte 5, scène 8, TIRIDATE)
Il efface mon fils, tous vos crimes passés, v.1859 (Acte 5, scène 8, OROSMANE)
Souffrez-moi de mêler mes pleurs, avec vos larmes ; v.1872 (Acte 5, scène 8, TROILE)
Ma soeur est en repos, et je mets bas les armes ; v.1873 (Acte 5, scène 8, TROILE)
Que mes troupes demain, s'en retournent aussi. v.1903 (Acte 5, scène 8, TROILE)
Conservons-la mes fils, et faisons succéder v.1907 (Acte 5, scène 8, OROSMANE)

LA COMÃ‰DIE DES COMÃ‰DIENS (1635)

Je ne sais ( Messieurs ) quelle extravagance est aujourd'hui celle de mes Compagnons, mais elle est bien si grande, que je suis forcé de croire, que quelque charme leur dérobe la raison, et le pire que j'y vois, c'est, qu'ils tâchent de me la faire perdre, et à vous autres aussi. (Prologue, scène 1, MONSIEUR DE BLANDIMARE)
Ils veulent me persuader que je ne suis point sur un théâtre ; ils disent que c'est ici la ville de Lyon, que voilà une hôtellerie ; et que voici un jeu de paume, où des Comédiens qui ne sont point nous, et lesquels nous sommes pourtant, représentent une Pastorale, ces insensés ont tous pris des noms de guerre, et pensent vous être inconnus, en s'appelant, Belle-Ombre, Beau-Soleil, Beau-Séjour, et d'autres encore tous semblables ; ils veulent que vous croyez être au bord du Rhône, et non pas à celui de la Seine ; et sans partir de Paris, ils prétendent vous faire passer pour des habitants de Lyon : à moi-même ces Messieurs des petites Maisons, me veulent persuader que la métempsychose est vraie, et que par conséquent Pythagore était un évangéliste car ils disent que je suis un certain monsieur de Blandimare, bien que je m'appelle véritablement Mondory, et voyez s'ils ont le sens bien égaré, ils doivent faire passer ici un tambour et un arlequin, comme le pratiquent les petites troupes dedans, les petites villes ; n'est-ce pas se faire tort, et vous offenser aussi ? (Prologue, scène 1, MONSIEUR DE BLANDIMARE)
Mais ce n'est point encore tout, leur folie va bien plus avant, car la pièce qu'ils représentent, ne saurait durer qu'une heure et demie, mais ces insensés assurent, qu'elle en dure vingt et quatre et ces esprits déréglés, appellent cela suivre les règles, mais s'ils étaient véritables, vous devriez envoyer quérir à dîner, à souper, et des lits ; jugez si vous ne seriez pas couchés bien chaudement, de dormir dans un jeu de Paume : enfin leur manie m'oblige à faire un voyage a Saint-Mathurin pour eux, où je m'en vais et cependant (Messieurs) ne les croyez pas, quoiqu'ils puissent dire ; car je meure s'il y aura rien de véritable : mais il est bien tard pour partir et le Soleil s'abaisse fort, de sorte que puisque je suis contraint de remettre mon voyage à demain, il faut nécessairement que je m'accommode pour aujourd'hui, à l'humeur de ces Passerellis ; car elle se peut vaincre par la douceur, et s'irrite par la résistance : et de peur de les mettre en mauvaise, ne dites mot je vous supplie : parce qu'étant mélancoliques, ils sont amateurs du silence. (Prologue, scène 1, MONSIEUR DE BLANDIMARE)
Quoi que le personnage que je joue à cette porte, ne soit pas le plus honorable, il est pourtant le plus utile, et comme il fait la part à mes compagnons, je n'ai pas la mémoire si mauvaise, que j'oublie à faire la mienne bonne ; mais le malheur est, que mon industrie ne trouve point où agir pleinement, à cause de l'humeur de ces habitants, plus froide que la saison où nous sommes, de sorte que si ce désordre continue, BELLE OMBRE, je pense que le meilleur sera de nous y tenir, c'est à dire, d'aller revoir les clochers de notre ville, et demeurer à la maison clos et couvert de peur du hâle. Mais voici notre tambour et notre Arlequin revenus, et je pense puisque je ne vois venir personne, que le bruit qu'ils ont fait par les rues, n'aura pas été plus persuasif, que les menteries de l'affiche. (Acte 2, scène 1, BELLE-OMBRE)
Les eaux dormantes ne font pas les plus saines, et la vertu se trouve pour le moins aussi souvent dans un esprit libre, que parmi ces âmes retenues, qu'on a droit de soupçonner d'hypocrisie, mais c'est une erreur où tombe presque tout le monde, pour ce qui regarde les femmes de notre profession, car ils pensent que la farce est l'image de notre vie, et que nous ne faisons que représenter ce que nous pratiquons en effet, ils croient que la femme d'un de vous autres, l'est indubitablement de toute la troupe ; et s'imaginant que nous sommes un bien commun, comme le Soleil ou les Éléments, il ne s'en trouve pas un, qui ne crois avoir droit de nous faire souffrir l'importunité de ses demandes, et certes c'est bien de là que procède la plus fâcheuse chose, qui s'éprouve à notre condition : car comme nos chambres tiennent des temples, en ce quelles sont ouvertes à chacun, pour un honnête homme qui nous y visite, il nous faut endurer les impertinences, de mille qui ne le sont pas, l'un viendra branler les jambes toute une après-dînée sur un coffre sans dire mot, seulement pour nous montrer qu'il a des moustaches, et qu'il les sait relever, l'autre un peu moins rêveur que celui-ci, mais non pas plus habile homme, fera toute sa conversation de bagatelles, aussi peu considérables que son esprit : et tranchant de l'officieux, il voudra placer une mouche sur la gorge, mais c'est à dessein d'y toucher : il voudra tenir le miroir, attacher un noeud, mettre de la poudre aux cheveux, et prenant sujet de parler de toutes ces choses, il le fait avec des pointes aussi nouvelles, et aussi peu communes que la Guimbarde, ou Lanturlu. (Acte 2, scène 3, MADAME-BEAU-SOLEIL)
Le troisième prenant un ton plus haut, et trop fort pour son haleine, s'engage inconsidérément, à la censure des poèmes, que nous aurons représentés : l'un sera trop ennuyeux pour sa longueur, l'autre manque de jugement en sa conduite, celui-là est plat et trop stérile en pensées, celui-là au contraire à force d'en avoir s'embarrasse, et parle Galimatias ; un est défectueux en ce qu'il ne s'attache pas aux règles des anciens, ce qui témoigne ion ignorance ; l'autre pour les avoir trop religieusement observées, est froid, et presque du tout sans action ; celui-ci ne lie pas son discours, et fait des fautes au langage, celui-là n'a pas la politesse de la Cour ; l'un manque des ornements de la poésie ; l'autre est trop abondant en fables; ce qui sent plus le pédant que l'honnête homme, et plus l'huile que l'ambre gris ; enfin, il n'en échappe pas à la langue de ce critique, qui faisant ainsi le procès à tant de bons esprits, sans les ouïr en leurs défenses, montre qu'il est aussi mauvais juge en matière de vers, que le font en la connaissance de l'honnêteté des femmes, ceux qui nous soupçonnent d'en manquer. (Acte 2, scène 3, MADAME BEAU SOLEIL)
Les Lettres où nous le destinions, lui ont semblé une occupation trop basse, et trop endormie, pour sa vivacité, il a voulu porter les armes, et le faisant, a couru toute l'Europe : et certes comme ce métier n'était pas indigne de sa naissance, nous supportions son erreur, mais lorsque nous pensions qu'il dût faire sa retraite, il est reparti de nouveau, sans que nous ayons pu découvrir sa route, et mon frère m'ayant supplié en mourant, d'avoir foin d'en faire la recherche, il n'est forme de vie où la débauche puisse réduire un jeune homme, dans laquelle je n'ai tâché de le rencontrer : mais tout inutilement, de sorte qu'ennuyé d'un si long voyage, enfin me voici dans Lyon, mais si las, qu'il ne m'est pas possible d'en partir de deux ou trois jours, pour revoir après notre ville, la plus belle du monde, Paris. (Acte 2, scène 4, MONSIEUR DE BLANDIMARE)
Jamais je ne me trouvai si empêché de ma contenance ; mais puisque je ne fais plus rien ici, allons rejoindre nos messieurs, et leur rendre compte de mon aventure. (Acte 2, scène 5, BELLE-OMBRE)
Il y a des choses d'une nature si relevée, que la médiocrité les détruit : et à n'en point mentir, il faut tant de qualités à un Comédien, pour mériter celle de bon, qu'on ne les rencontre, que fort rarement ensemble, il faut premièrement que la nature y contribue, en lui donnant la bonne mine ; c'est ce qui fait la première impression dans l'âme des spectateurs : qu'il ait le port du corps avantageux, l'action libre, et sans contrainte ; la voix claire, nette, et forte ; que son langage soit exempt des mauvaises prononciations, et des accès corrompus, qu'on acquiert dans les Provinces, et qu'il se conserve toujours la pureté du français, qu'il ait l'esprit et le jugement bon, pour l'intelligence des vers, et la force de la mémoire, pour les apprendre promptement, et les retenir après toujours qu'il ne soit ignorant ni de l'histoire, ni de la fable, car autrement, il fera du Galimatias malgré qu'il en aie : et récitera des choses bien souvent à contre-sens : et aussi hors de ton, qu'un musicien qui n'a point d'oreille : ses actions mêmes seront comme les pas d'un mauvais balladin, qui saute une heure après la cadence ; et de là vient tant de postures extravagantes, et tant de lever de chapeau hors de saison, comme on en voit sur les théâtres. (Acte 3, scène 1, MONSIEUR DE BLANDIMARE)
Ce que vous nous venez de dire, est l'idée de la perfection, qui ne se trouve point aux hommes : mais si j'ose bien assurer que notre troupe n'en est pas tant éloignée ; et comme vous savez parfaitement faire le discernement des bonnes et des mauvaises choses, si vous nous aviez vu représenter, peut-être seriez vous de mon avis. (Acte 3, scène 1, BEAU-SEJOUR)
Il faut donner cet aveu à la mémoire de cet auteur, qu'il avait un puissant génie, et une veine prodigieusement abondante (comme huit cents poèmes de sa façon en font foi) et certes à lui seul appartient la gloire, d'avoir le premier relevé le théâtre français, tombé depuis tant d'années. (Acte 3, scène 1, MONSIEUR DE BLANDIMARE)
Plus parfait que Pâris, cher miracle des hommes, v.4 (Acte 3, scène 2, CLORICE)
Si j'étais ce Troyen, et que j'eusse cent pommes, v.6 (Acte 3, scène 2, TANCRÈDE)
Reine de mes désirs, tu te vois refusée, v.8 (Acte 3, scène 2, ALCIDON)
Puisque tout mes souhaits, ont la raison pour règle v.24 (Acte 3, scène 2, ALCIDON)
Ingrat, si tu me fuis, le torrent de mes larmes, v.28 (Acte 3, scène 2, IRIS)
Cherche ailleurs que dans l'eau, du secours et des armes, v.30 (Acte 3, scène 2, ALCIDON)
Adieu Mesdames, bonsoir Messieurs. (Acte 3, scène 3, MONSIEUR DE BLANDIMARE)
Monsieur nous sommes vos très-humbles serviteurs. (Acte 3, scène 3, BEAU-SOLEIL)

ORANTE (1636)

Des regrets mesurez, et des soupirs en rime. v.6 (Acte 1, scène 1, ROSIMOND)
Comme tous mes plaisirs ont déjà fait naufrage, v.9 (Acte 1, scène 1, ISIMANDRE)
Et mes vers sont confus, autant que mon humeur : v.11 (Acte 1, scène 1, ISIMANDRE)
Il fallait préparer mes yeux et mes oreilles ; v.13 (Acte 1, scène 1, ROSIMOND)
Les termes pleins de feu qu'amour m'a fait écrire, v.116 (Acte 1, scène 1, ISIMANDRE)
Pourront servir de lustre à mes perfections. v.158 (Acte 1, scène 2, ORMIN)
Le ciel entend mes voeux, et mon bon-heur s'y lit ; v.165 (Acte 1, scène 2, ORMIN)
Je ne la trouve point favorable à mes voeux ; v.213 (Acte 1, scène 4, FLORANGE)
L'or ne saurait cacher l'argent de mes cheveux. v.214 (Acte 1, scène 4, FLORANGE)
La fin de mes malheurs, dans celle de ma vie : v.234 (Acte 1, scène 5, ORANTE)
Peints-y bien mes feux et mes fers , v.245 (Acte 1, scène 5, ORANTE)
Vous irritez mes pleurs, vous augmentez mes peines, v.262 (Acte 1, scène 5, ORANTE)
Sans partager ma mort, partage mes ennuis ; v.272 (Acte 1, scène 5, ORANTE)
Ha Ciel ! quel accident ' au secours mes amis ; v.287 (Acte 1, scène 6, EDUIGE)
Ô funeste message ! v.297 (Acte 1, scène 7, CLINDOR)
Il ne me parle plus qu'en termes de mépris ; v.335 (Acte 2, scène 1, PALINICE)
Afin de l'obliger, il manque à sa promesse ; v.341 (Acte 2, scène 1, PALINICE)
Et que ses volontés règnent sur mes pensées : v.393 (Acte 2, scène 2, ORMIN)
Que Florange n'ait plus ses flammes insensées v.394 (Acte 2, scène 2, ORMIN)
Et mes commandements l'obligent à se taire : v.397 (Acte 2, scène 2, ORMIN)
Ô toi de mes pensers, fidèle secrétaire, v.398 (Acte 2, scène 2, ORMIN)
Toutes mes volontés penchent vers la dernière : v.413 (Acte 2, scène 3, ORANTE)
Mesurera vos biens aux grandeurs de vos peines ; v.426 (Acte 2, scène 3, EDUIGE)
A fait que mes pensers ont mis tout en oubli : v.444 (Acte 2, scène 3, EDUIGE)
Bornant mes jours ou mon souci ; v.458 (Acte 2, scène 3, ORANTE)
Mes Soleils verront clairement, v.464 (Acte 2, scène 3, ORANTE)
Ha ! Veuillez adoucir mes peines obstinées ; v.489 (Acte 2, scène 4, FLORANGE)
Et compter mon argent plutôt que mes années ; v.490 (Acte 2, scène 4, FLORANGE)
Paresseux Messager, qui fait languir mon âme, v.525 (Acte 2, scène 7, ISIMANDRE)
Vois mes maux, songe à moi, regarde ton devoir ; v.527 (Acte 2, scène 7, ISIMANDRE)
Souffre que mes désirs t'arrachent de ce Ciel ; v.531 (Acte 2, scène 7, ISIMANDRE)
Mes pleurs suivent les siens, sans en voir le sujet ; v.543 (Acte 2, scène 7, ISIMANDRE)
N'implore-t-elle point le pouvoir de mes armes ' v.549 (Acte 2, scène 7, ISIMANDRE)
N'as-tu point vu ses pleurs, comme tu vois mes larmes ' v.550 (Acte 2, scène 7, ISIMANDRE)
Fidèle messager, il faut que je t'adore. v.642 (Acte 3, scène 2, ISIMANDRE)
Nous approchons de Pise ; et dans l'heure où nous sommes, v.645 (Acte 3, scène 2, LINDOMAN)
Vous vous confesserez le plus heureux des hommes. v.646 (Acte 3, scène 2, LINDOMAN)
Vous l'aurez chère Orante, et pour voir tant de charmes ; v.665 (Acte 3, scène 2, ISIMANDRE)
Amour joindra sa force à celle de mes armes : v.666 (Acte 3, scène 2, ISIMANDRE)
J'en éloignais mes pas ; j'en détournais ma vue ; v.697 (Acte 3, scène 3, PALINICE)
Lisez dedans mes yeux, voyez en ma couleur, v.763 (Acte 3, scène 6, ISIMANDRE)
Lieux sacrez à l'amour, pleins d'appas, et de charmes ; v.769 (Acte 3, scène 6, ISIMANDRE)
Montrez-moi ce beau sang, que j'y mêle mes larmes ; v.770 (Acte 3, scène 6, ISIMANDRE)
On triomphe en la paix, et nous sommes en guerre, v.778 (Acte 3, scène 6, ORANTE)
Le prix se mesurant avecque sa demande, v.837 (Acte 3, scène 7, ORMIN)
Une autre haït mes yeux qui l'osent adorer, v.855 (Acte 3, scène 7, ORMIN)
Et fait que mes pensers me viennent dévorer : v.856 (Acte 3, scène 7, ORMIN)
Que vos commandements secondent mes désirs ; v.871 (Acte 3, scène 7, ORMIN)
Veuille Amour, qu'Isimandre ait devancé mes pas. v.908 (Acte 4, scène 1, ORANTE)
Me montrez vous mes yeux ce que je pense voir ' v.919 (Acte 4, scène 2, FLORANGE)
À qui mes cheveux blancs n'ont su faire pitié. v.952 (Acte 4, scène 3, POLIANTE)
Sans songer que mes pleurs sont aperçus des Dieux , v.972 (Acte 4, scène 3, POLIANTE)
Je le descends à terre avecque mes douleurs ; v.987 (Acte 4, scène 3, POLIANTE)
Pour allonger ses jours, retranchez mes années ; v.998 (Acte 4, scène 3, POLIANTE)
Quand Clindor te donna ces habillements d'hommes, v.1009 (Acte 4, scène 4, ORANTE)
Ne te marqua-t-il pas ce lieu même où nous sommes ' v.1010 (Acte 4, scène 4, ORANTE)
Vous redoublez encor la gêne à mes esprits. v.1044 (Acte 4, scène 6, LUCINDE)
Au moins cruel destin, fais voir à mes désirs, v.1047 (Acte 4, scène 7, ORMIN)
L'invisible ennemi qui détruit mes plaisirs . v.1048 (Acte 4, scène 7, ORMIN)
Donnez-moi cette fin en celle de mes jours : v.1067 (Acte 4, scène 8, FLORANGE)
Ha ! chassez ce fantôme il déplaît à mes yeux. v.1084 (Acte 4, scène 9, ORANTE)
Et que par mes douleurs jugeant de sa souffrance, v.1097 (Acte 4, scène 9, ISIMANDRE)
Et ses charmes ont pris un amant qui la prise. v.1130 (Acte 4, scène 11, FLORANGE)
Deux braves employez seconderont mes coups ; v.1187 (Acte 4, scène 11, FLORANGE)
Force-le par raison, fléchis-le par des larmes, v.1241 (Acte 5, scène 1, ISIMANDRE)
Une âme de rocher céderait à ces armes ; v.1242 (Acte 5, scène 1, ISIMANDRE)
Mes feux sont éternels aussi bien que le leur. v.1348 (Acte 5, scène 4, ORANTE)
Pour un coeur généreux, les bienfaits ont des charmes ; v.1377 (Acte 5, scène 7, ORMIN)
Et vous me désarmez en conservant mes armes : v.1378 (Acte 5, scène 7, ORMIN)
Mon âme est dans mes yeux, jugez de son plaisir. v.1392 (Acte 5, scène 7, ISIMANDRE)
A peine mes regards ont découvert sa fuite, v.1406 (Acte 5, scène 8, LUCINDE)
Des armes du discours que preste la vertu. v.1436 (Acte 5, scène 9, POLIANTE)
Il n'est rien d'éternel en la terre où nous sommes : v.1441 (Acte 5, scène 10, ORMIN)
La haine doit finir aussi bien que les hommes ; v.1442 (Acte 5, scène 10, ORMIN)

ARMINIUS (1644)

Vint suivre les destins et les armes romaines ; v.20 (Acte 1, scène 2, AGRIPPINE)
Du merveilleux progrès de vos armes hautaines, v.124 (Acte 1, scène 2, HERCINIE)
Il est comme des maux, des crimes nécessaires : v.196 (Acte 1, scène 3, SEGESTE)
Rome ne suit jamais de si lâches maximes ; v.199 (Acte 1, scène 3, GERMANICUS)
Loin de récompenser, elle punit les crimes ; v.200 (Acte 1, scène 3, GERMANICUS)
Il criait autrefois, Varus rends mes soldats ; v.209 (Acte 1, scène 3, SEGESTE)
Je la vois suspendue, elle s'offre à mes sens ; v.225 (Acte 1, scène 3, GERMANICUS)
Je suis dans votre camp, comme en mes pavillons ; v.261 (Acte 1, scène 4, ARMINIUS)
Nous sommes gens d'honneur, aussi bien qu'ennemis ; v.265 (Acte 1, scène 4, ARMINIUS)
Les armes à la main, nous savons nous défendre, v.267 (Acte 1, scène 4, ARMINIUS)
Prenez tous mes trésors, pour ce rare trésor ; v.277 (Acte 1, scène 4, ARMINIUS)
Par un sort inconnu, mes malheurs sont couverts, v.317 (Acte 2, scène 1, SEGIMIRE)
Et qu'ainsi dans l'excès de mes cruelles peines, v.323 (Acte 2, scène 1, SEGIMIRE)
Un trépas désiré, vaudrait mieux que mes chaînes ; v.324 (Acte 2, scène 1, SEGIMIRE)
Dans un sort plus obscur, laisse couler mes jours. v.326 (Acte 2, scène 1, SEGIMIRE)
Et crois tu que ta voix, puisse plus que mes yeux ? v.362 (Acte 2, scène 1, SEGIMIRE)
Va suivre mes destins, ou les abandonner ; v.393 (Acte 2, scène 2, FLAVIAN)
Ha, je les vois ces yeux pleins d'attraits et de charmes, v.415 (Acte 2, scène 2, FLAVIAN)
Mais je les vois couverts de foudres et de larmes ; v.416 (Acte 2, scène 2, FLAVIAN)
J'oublierai mes malheurs, et ce manque de foi. v.478 (Acte 2, scène 2, FLAVIAN)
Ô ciel, contre mes pleurs, vous trouverez des armes ! v.495 (Acte 2, scène 2, FLAVIAN)
Je ne les saurais voir à travers de mes larmes. v.496 (Acte 2, scène 2, HERCINIE)
Mais votre sort est encor en mes mains, v.497 (Acte 2, scène 2, FLAVIAN)
Auras-tu fait en vain trois crimes odieux, v.509 (Acte 2, scène 3, FLAVIAN)
Comme en vain irrité, les hommes et les dieux ? v.510 (Acte 2, scène 3, FLAVIAN)
Ne renouvelle plus mes premières douleurs. v.533 (Acte 2, scène 4, FLAVIAN)
Ta faute est sans remède, ainsi que mes ennuis ; v.550 (Acte 2, scène 5, SEGIMIRE)
Et ne romps point mes fers, ayant brisé les tiens. v.586 (Acte 2, scène 5, SEGIMIRE)
Tu vois que cet ingrat, se moque de mes larmes ; v.591 (Acte 2, scène 6, SEGIMIRE)
Tes discours et les miens, sont de trop faibles armes ; v.592 (Acte 2, scène 6, SEGIMIRE)
Qui suivent maintenant vos armes triomphantes ; v.636 (Acte 2, scène 7, CECINA)
Qu'il faudra que tout cède, aux armes des Romains. v.646 (Acte 2, scène 7, AGRIPPINE)
En des termes hardis, qui soient dignes de Rome ; v.688 (Acte 2, scène 7, GERMANICUS)
D'adoucir par l'espoir, l'aigreur de mes ennuis ! v.698 (Acte 2, scène 8, ARMINIUS)
Le sort et les romains, tous deux mes adversaires, v.699 (Acte 2, scène 8, ARMINIUS)
Et pour porter enfin mes malheurs jusqu'au bout, v.701 (Acte 2, scène 8, ARMINIUS)
Quoi, ces yeux qui faisaient mes plaisirs et mes peines, v.743 (Acte 2, scène 10, ARMINIUS)
Par elle, furent mis au rang de mes vaincus. v.750 (Acte 2, scène 10, ARMINIUS)
Nous avons même objet, nous avons mêmes haines ; v.824 (Acte 3, scène 2, FLAVIAN)
Les dieux que l'équité rend ennemis des crimes, v.935 (Acte 3, scène 4, GERMANICUS)
Accordent la victoire, aux armes légitimes ; v.936 (Acte 3, scène 4, GERMANICUS)
Connaissent votre humeur, et mes intentions. v.978 (Acte 3, scène 4, GERMANICUS)
Non, non, j'ai mérité mes maux et votre haine, v.1015 (Acte 3, scène 7, ARMINIUS)
Et s'il ne s'agissait de regarder mes dieux, v.1033 (Acte 3, scène 7, ARMINIUS)
Et que des bords du Rhin, jusqu'aux bords maritimes, v.1043 (Acte 3, scène 7, HERCINIE)
Roulaient parmi les flots, de sanglantes victimes ? v.1044 (Acte 3, scène 7, HERCINIE)
Tombe la dernière aigle, avec mes derniers coups. v.1090 (Acte 3, scène 7, ARMINIUS)
Et sans plaindre mes maux, plaignez-vous, plaignez-vous. v.1134 (Acte 4, scène 2, FLAVIAN)
Mais lorsque l'ennemi, quitte et jette les armes, v.1187 (Acte 4, scène 4, ARMINIUS)
Et que sans être lâche, il a recours aux larmes ; v.1188 (Acte 4, scène 4, ARMINIUS)
Armes, sceptres, drapeaux, et trônes renversés : v.1194 (Acte 4, scène 4, ARMINIUS)
Veut que ses volontés, règlent mes sentiments. v.1242 (Acte 4, scène 4, GERMANICUS)
La volonté suffit, aux âmes généreuses. v.1291 (Acte 4, scène 4, ARMINIUS)
Puissent être au combat, mes armes plus heureuses ; v.1292 (Acte 4, scène 4, ARMINIUS)
Une chaîne éternelle, assemble nos deux âmes ; v.1303 (Acte 4, scène 6, HERCINIE)
Une vertu sans tâche, y conserve des flammes v.1304 (Acte 4, scène 6, HERCINIE)
Il est vrai ; mais l'horreur de mes yeux, v.1345 (Acte 4, scène 7, SEGESTE)
Fuyez, fuyez mes yeux, et plus encor mon bras. v.1362 (Acte 4, scène 7, SEGESTE)
Ciel, n'avez-vous point d'yeux, pour de si justes larmes ? v.1367 (Acte 4, scène 7, ARMINIUS)
Ne versons point de pleurs, courons plutôt aux armes. v.1368 (Acte 4, scène 7, SEGESTE)
L'ennemi domestique, et l'ennemi romain. v.1390 (Acte 4, scène 8, ARMINIUS)
C'est dans mes grands desseins, le seul but où j'aspire ; v.1409 (Acte 5, scène 1, GERMANICUS)
Je cherche en mes travaux, le repos de l'empire ; v.1410 (Acte 5, scène 1, GERMANICUS)
L'on voit avant sa fin, celle de mes années, v.1414 (Acte 5, scène 1, GERMANICUS)
Rome, contente-toi, de mes intentions ; v.1415 (Acte 5, scène 1, GERMANICUS)
Une indigne pitié, le surprend par ses charmes ! v.1441 (Acte 5, scène 2, SEGESTE)
Lui dérobe l'honneur ! Lui fait tomber les armes ! v.1442 (Acte 5, scène 2, SEGESTE)
Me va t-on déclarer, les armes à la main, v.1447 (Acte 5, scène 2, SEGESTE)
Enfin apprenez-moi, dans l'état où nous sommes, v.1461 (Acte 5, scène 2, SEGESTE)
De qui je me dois plaindre, ou des cieux, ou des hommes ? v.1462 (Acte 5, scène 2, SEGESTE)
Mépriser mes conseils ! Estimer son courage ! v.1474 (Acte 5, scène 2, SEGESTE)
Et puis-je avoir un frère, entre mes ennemis ? ) v.1520 (Acte 5, scène 4, ARMINIUS)
Il est vrai, je l'avoue, elle plaît à mes yeux, v.1559 (Acte 5, scène 4, FLAVIAN)
Les armes, le salaire, ou les fers des romains ; v.1600 (Acte 5, scène 4, ARMINIUS)
Les armes à la main contre un frère ! Ha bons dieux ! v.1699 (Acte 5, scène 7, GERMANICUS)
Nous aurons même tombe, et mêmes destinées ; v.1718 (Acte 5, scène 7, SEGIMIRE)

LE FILS SUPPOSÉ (1636)

Et quoi, vous lassez-vous de souffrir mes services ? v.3 (Acte 1, scène 1, LUCIANE)
Les larmes que j'épands, sont-elles condamnées ? v.8 (Acte 1, scène 1, LUCIANE)
Et si loin de rester aux termes du devoir, v.25 (Acte 1, scène 1, ROSANDRE)
Être bien à cheval, et faire bien des armes, v.59 (Acte 1, scène 1, ROSANDRE)
Ne sont plus désormais que trop faibles charmes ; v.60 (Acte 1, scène 1, ROSANDRE)
Que peut-on espérer de deux âmes forcées ? v.72 (Acte 1, scène 1, LUCIANE)
Que je foule à mes pieds celui qui te maîtrise : v.175 (Acte 1, scène 2, ORONTE)
Je range mes soldats ; je mets la chiourme basse ; v.220 (Acte 1, scène 3, ALMEDOR)
Mourants tous à mes pieds me firent un rempart. v.242 (Acte 1, scène 3, ALMEDOR)
Et quoi chère Bélise, en augmentant mes peines, v.287 (Acte 1, scène 4, PHILANTE)
Mes solides plaisirs, et mon souverain bien : v.298 (Acte 1, scène 4, PHILANTE)
Que vous puissiez tout dessus mes sentiments. v.306 (Acte 1, scène 4, BÉLISE)
La belle que je sers, est flexible à mes voeux ; v.353 (Acte 1, scène 5, PHILANTE)
Viens savoir mes desseins ; viens savoir mon plaisir ; v.358 (Acte 1, scène 5, PHILANTE)
Quoi, manquer de respect ! quoi, manquer de promesse ! v.411 (Acte 2, scène 1, LUCIANE)
Il est temps de borner, ton pouvoir, et mes peines : v.422 (Acte 2, scène 1, LUCIANE)
Fatale à mes plaisirs, dure à ma souvenance, v.450 (Acte 2, scène 2, ORONTE)
Sentir ce que je sens ; partager mes ennuis ; v.543 (Acte 2, scène 3, BÉLISE)
De retenir mes pas, elle est insuffisante ; v.602 (Acte 2, scène 3, BÉLISE)
Mais de quelque vertu que j'emprunte les armes, v.629 (Acte 2, scène 5, PHILANTE)
Je fais voir ma douleur, en faisant voir mes larmes ; v.630 (Acte 2, scène 5, PHILANTE)
Par mes humbles devoirs que je vous tiens pour frère. v.658 (Acte 2, scène 6, CLORIAN)
Mon oreille me trompe aussi bien que mes yeux ! v.659 (Acte 2, scène 6, PHILANTE)
Ha ! Tirons la vertu de ces infâmes lieux. v.660 (Acte 2, scène 6, CLORIAN)
Ce Soleil, pour mes yeux, est couvert d'une nue, v.668 (Acte 3, scène 1, PHILANTE)
Puisse trouver son terme en celui de mes jours. v.708 (Acte 3, scène 1, PHILANTE)
Es tu sourde à mes cris ? Et toi lâche Doriste, v.713 (Acte 3, scène 1, PHILANTE)
Mon frère, tout va bien ; mes gens viennent d'apprendre, v.733 (Acte 3, scène 2, CLORIAN)
Qui dépeigne ma vie, et toutes mes amours ; v.860 (Acte 3, scène 6, BÉLISE)
Que ce même Philante a causé mes ennuis : v.864 (Acte 3, scène 6, B?LISE)
Mais quand d'un feu tout pur se consomment deux âmes, v.885 (Acte 3, scène 7, LUCIANE)
Il leur est glorieux d'en faire voir les flammes : v.886 (Acte 3, scène 7, LUCIANE)
Mais las ! Penser flatteurs, qui par de si doux charmes, v.925 (Acte 3, scène 8, ORONTE)
Tâchez de retenir le torrent de mes larmes, v.926 (Acte 3, scène 8, ORONTE)
De l'objet de mes voeux l'incomparable image. v.934 (Acte 3, scène 8, ORONTE)
Ô Ciel sourd à mes voeux, écoute mon transport, v.1075 (Acte 5, scène 3, DORISTE)
Et vous, et moi devons des victimes aux Cieux ; v.1096 (Acte 5, scène 5, ROSANDRE)
Mes pères l'ont porté, je le porte comme eux. v.1196 (Acte 5, scène 7, PHILANTE)
Mes peines seront éternelles, v.1239 (Acte 4, scène 1, BÉLISE)
Mes cris sont superflus, Philante ne vient pas. v.1258 (Acte 4, scène 1, B?LISE)
Toutefois quelque espoir luit encore à mes yeux, v.1281 (Acte 4, scène 2, DORISTE)
Je vous la donne Oronte : ou plutôt par mes mains, [H] v.1417 (Acte 4, scène 5, BÉLISE)
Souvenir de mes maux ne revenez jamais. v.1462 (Acte 4, scène 5, ORONTE)
Mon père, pardonnez à mes fautes passées. v.1463 (Acte 4, scène 5, LUCIANE)
Auteur de mes plaisirs, ainsi que de ma vie, v.1467 (Acte 4, scène 5, PHILANTE)
Fermes la bouche : v.1475 (Acte 4, scène 5, CLORIAN)

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LA MORT DE CÉSAR (1637)

Quels crimes n'ont commis ces tigres inhumains ? v.153 (Acte 1, scène 1, BRUTE)
Ces coeurs peu généreux, ces âmes abaissées : v.207 (Acte 1, scène 1, BRUTE)
Libre nous sommes nés, libres il faut mourir. v.226 (Acte 1, scène 1, BRUTE)
Nous mêmes conduisons nos faits et nos années : v.239 (Acte 1, scène 1, CASSIE)
L'on voit en tes discours, l'on oit en mes répliques, v.243 (Acte 1, scène 1, BRUTE)
Certaine pesanteur occupe tous mes sens ; v.273 (Acte 1, scène 2, BRUTE)
Ha ! Ne contestez plus, contentez mes désirs : v.285 (Acte 1, scène 2, PORCIE)
Semble offrir son poignard, et son sang à mes yeux. v.330 (Acte 1, scène 2, PORCIE)
Que je me sois trompé dedans mes conjectures ; v.360 (Acte 2, scène 1, LÉPIDE)
Au secours mes amis, des tigres sanguinaires, v.407 (Acte 2, scène 2, CALPHURNIE)
Le seul penser m'en met aux termes de mourir : v.446 (Acte 2, scène 2, CALPHURNIE)
Menace votre tête, et détruit mes plaisirs. v.558 (Acte 2, scène 4, PORCIE)
Étrange aveuglement de ce siècle où nous sommes ! v.559 (Acte 2, scène 4, CASSIE)
Ô faiblesse d'esprit ! Stupidité des hommes ; v.560 (Acte 2, scène 4, CASSIE)
Que nous sommes trop loin pour regarder la rive, v.576 (Acte 2, scène 4, BRUTE)
Je veux aimer la gloire, elle plaît à mes yeux ; v.581 (Acte 2, scène 4, PORCIE)
Notre esprit contre nous a des forces extrêmes ; v.599 (Acte 3, scène 1, CÉSAR)
Nous voyons en autrui, beaucoup mieux qu'en nous-mêmes ; v.600 (Acte 3, scène 1, C?SAR)
Se doit faire des lois des maximes d'État : v.618 (Acte 3, scène 1, ANTOINE)
Ce âmes du commun, tiennent de leur naissance, v.627 (Acte 3, scène 1, ANTOINE)
Suis-je avare, ou cruel ? Ai-je souillé mes mains, v.649 (Acte 3, scène 1, CÉSAR)
Et hors le seul honneur de ce grade où nous sommes : v.651 (Acte 3, scène 1, C?SAR)
Ai-je rien au dessus du vulgaire des hommes ? v.652 (Acte 3, scène 1, C?SAR)
Et faut que mes soucis courent toute le terre : v.656 (Acte 3, scène 1, C?SAR)
Au reste, pour mes jours, j'en regarde la fin, v.681 (Acte 3, scène 1, CÉSAR)
Mette sur l'horizon le dernier de mes jours : v.690 (Acte 3, scène 1, CÉSAR)
Mon coeur est dans mes yeux ou je veux qu'on le voie, v.738 (Acte 3, scène 2, LABEO)
Les hommes comme nous ne savent point trahir : v.747 (Acte 3, scène 2, LABEO)
Et pour le faire court, mes desseins sont les vôtres. v.766 (Acte 3, scène 2, ALBIN)
Elles m'ont empêché de voir mes funérailles, v.841 (Acte 4, scène 1, CÉSAR)
Ces fantômes volants qu'on a vu cette nuit, v.887 (Acte 4, scène 1, ANTOINE)
Que pouvons nous attendre en l'état ou nous sommes, v.897 (Acte 4, scène 1, ANTOINE)
Si César ne croit plus ni les Dieux ni les hommes ? v.898 (Acte 4, scène 1, ANTOINE)
Mais nous sommes dans Rome, et César nous écoute. v.918 (Acte 4, scène 2, BRUTE)
César, ne sortez point, ou bien sortez en armes ; v.929 (Acte 4, scène 3, CALPHURNIE)
Hé de grâce donnez quelque chose à mes larmes : v.930 (Acte 4, scène 3, CALPHURNIE)
Et quand tout l'Univers entendrait mes clameurs, v.979 (Acte 4, scène 4, PORCIE)
Un certain messager, étant venu d'Ostie, v.1022 (Acte 4, scène 7, ALBIN)
Ces hommes sans courage, et plein d'ingratitude, v.1137 (Acte 5, scène 4, BRUTE)
Infâmes coeurs faillis, esclaves sans honneur, v.1147 (Acte 5, scène 4, BRUTE)
Les Romains ne sont plus que femmes déguisées ; v.1154 (Acte 5, scène 4, BRUTE)
Mesurez la grandeur de la terre et de l'onde, v.1294 (Acte 5, scène 6, ANTOINE)
Qui virent à regret les yeux mêmes des Parques ; v.1330 (Acte 5, scène 6, ANTOINE)
Pour vous faire courir à de si justes armes, v.1341 (Acte 5, scène 6, CALPHURNIE)
Souffrez-moi de mêler ce sang avec mes larmes : v.1342 (Acte 5, scène 6, CALPHURNIE)
Gardez bien d'en avoir, de ces hommes sans foi. v.1344 (Acte 5, scène 6, CALPHURNIE)
Mais au même moment s'est fait voir à mes yeux, v.1359 (Acte 5, scène 7, UN AUTRE CITOYEN)
Bienheureux messager agréable nouvelle ! v.1362 (Acte 5, scène 7, ANTOINE)

Dans les 1895 textes du corpus, il y a 10 textes (soit une présence dans 0,53 % des textes) dans lesquels il y a 650 occurences de la forme recherchée, soit une moyenne de 65,00 occurences par texte.

n°	Titres	Acte 1	Acte 2	Acte 3	Acte 4	Acte 5	Prologue	Total
1	LE PRINCE DÉGUISÉ	19	11	8	8	15	0	61
2	LE VASSAL GÉNÉREUX	17	13	13	5	13	0	61
3	LIGDAMON ET LIDIAS	15	14	20	16	21	0	86
4	EUDOXE	34	5	13	6	17	0	75
5	L'AMOUR TYRANNIQUE	30	10	19	18	27	0	104
6	ORANTE	15	19	14	16	10	0	74
7	ARMINIUS	11	27	9	14	15	0	76
8	LE FILS SUPPOSÉ	14	10	11	8	3	0	46
9	LA MORT DE CÉSAR	8	8	13	9	10	0	48
10	LA COM?DIE DES COM?DIENS	0	5	5	0	0	3	13
11	LA COMÉDIE DES COMÉDIENS	0	0	6	0	0	0	6
	Total	163	122	131	100	131	3	650